En 2028, Los Angeles accueillera pour la troisième fois de son histoire les Jeux olympiques, après les éditions de 1932 et 1984.

Les athlètes seront présents sur le sol américain, avec 28 sites différents, tous existants déjà, situés entre Los Angeles et Oklahoma City.

La deuxième ville la plus peuplée des États-Unis pourra notamment s'appuyer sur le Stadium Inglewood pour les épreuves de football et l'historique Los Angeles Memorial Coliseum pour l'athlétisme.

Ce dernier a été inauguré en mémoire des soldats de la Première Guerre mondiale.

Le Convention Center sera l'enceinte qui accueillera le plus de disciplines, avec un total de cinq.

Le logo des Jeux a été créé par 26 designers, avec un 'L', un '2' et un '8' utilisant une grosse typographie de couleur noire.

Il existe actuellement 32 versions de la lettre 'A'.

Allyson Félix, neuf fois championne olympique en athlétisme, est la figure phare de cette édition.

Nelson Monfort a expliqué que le nombre de sports était fixe, mais certains disparaîtront, comme le breakdance.

De nouveaux sports, dont certains relèvent plus de jeux pratiqués à l'école, seront introduits, mais toujours pas la pétanque, qui est pourtant pratiquée par 90% des pays sur la planète.

Avec la livraison du prolongement des lignes 4 et 14 du métro, du projet Eole et du tram T3b, l'année écoulée a été riche en nouveautés dans les transports en commun franciliens.

D'autres évolutions sont attendues dans les prochaines années.

La toute première vente de billets ouvrira ce samedi 14 septembre à Saint-Denis, et d'autres ventes seront organisées un peu partout en France jusqu'au 13 octobre.

Quelque 300 olympiens et paralympiens ont défilé sur l'avenue parisienne, accompagnés de plusieurs milliers d'organisateurs des JO, bénévoles, membres du CIO et agents publics.

Le héros de cette édition a insisté pour réaliser ses prouesses lui-même, malgré les risques et un emploi du temps très chargé.

Dans un entretien, le directeur artistique des JO revendique la dimension politique de ses choix de mise en scène et reconnaît que les questionnements de genre étaient omniprésents dans ses cérémonies.

Les tentatives d'ingérences et manœuvres relayant les intérêts russes, chinois ou iraniens n'ont pas réussi à gâcher la fête, grâce à l'anticipation de la menace.

Ces tentatives ont été aperçues notamment dimanche soir, durant la cérémonie de clôture des Jeux paralympiques, et les mascottes ont rencontré un franc succès.

Les services de renseignement ont intercepté des individus radicalisés qui voulaient cibler un stade de football, le relais de la flamme en Gironde ou encore le site de la Défense.

Au-delà des débats autour de la vasque et des anneaux, la capitale et ses monuments ont gagné en visibilité.

Le groupe réfléchit à se doter d'un plus grand nombre de caméras de vidéosurveillance et de drones pour mieux protéger ses sites sensibles.

Constatant leur popularité, certains appellent à leur donner une deuxième vie, mais il demeure un obstacle de taille.

La ministre des Sports et des Jeux olympiques tire le bilan d'une édition exceptionnelle et se projette sur son héritage.

Ce lundi, la région Île-de-France lance la plateforme MonemploiaprèslesJeux, proposant 30 000 offres d'emplois issues de 40 grands employeurs publics et privés.

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