Bien sûr, je peux paraphraser ce texte pour vous en plus de détails.

L'Union Bordeaux-Bègles (UBB) a vécu une soirée cauchemardesque lors de sa première finale de Top 14 de son histoire ce vendredi soir à Marseille, où elle a été humiliée par le Stade Toulousain avec un score de 59-3.

Le manager de l'équipe, Yannick Bru, a tenté d'expliquer cette déroute.

Il a mentionné que dès les vingt premières minutes, ils ont manqué d'énergie, perdu des ballons faciles et raté des plaquages.

Ils ont rapidement compris qu'ils n'étaient pas invités à ce niveau de compétition.

Contre une équipe comme Toulouse, quand on perd le bras de fer, ils vous écrasent.

Avant le match, ils savaient qu'un scénario noir pouvait se produire.

Ils ont vu la puissance et l'agressivité des Toulousains.

La leçon à tirer est que pour rivaliser en phase finale avec une équipe de ce calibre, il faut aller directement en demi-finale.

Passer par les barrages rend les choses très difficiles.

Pour battre Toulouse quand on n'est pas favori, il faut tenter un coup de poker et aligner ses 23 meilleurs joueurs.

Même avec 23 autres Bordelais, le résultat aurait été le même.

Matthieu voulait jouer ce match, mais il avait clairement indiqué qu'il ne pourrait pas donner 100%.

Matéo Garcia était presque indisponible.

Matthieu s'est mis au service du collectif, et Yannick Bru assume totalement de l'avoir aligné, le remerciant pour cela.

Sur le bord du terrain, c'était dur, et pour les joueurs aussi, ils ne méritaient pas ça.

Quand la machine infernale toulousaine se met en marche, c'est impossible de rivaliser.

En fin de match, ils ont encaissé un essai sur chaque action.

Ils se sont dit qu'ils allaient tirer des enseignements pour l'avenir.

Il faut féliciter Toulouse, car ils ne sont pas à ce niveau.

Cela ressemble à une humiliation, mais il ne faut pas oublier qu'ils se sont quand même invités en finale avec eux.

Ce n'est pas le vrai visage de l'UBB, pas l'image qu'ils ont donnée toute l'année.

Yannick Bru en profite pour présenter ses excuses aux supporters qui ont toujours été là, car cela ternit l'image de l'UBB.

Il a dit à Max qu'il ne fallait pas pleurer.

Ils ont été surclassés et n'ont pas été invités aujourd'hui.

Il y avait 20 points de trop.

En fin de match, Toulouse était euphorique et ils ont lâché mentalement.

Ils étaient dans un état d'énergie qui ne leur permettait pas de rivaliser.

Mais ils sont dans la première année du projet et seront meilleurs l'année prochaine.

Des claques comme celle-ci renvoient à beaucoup d'humilité, de travail et de progression.

Cela doit être un moteur pour préparer demain.

Yannick Bru espère que dès l'année prochaine, cela sera un moteur pour se hisser à ce niveau technique et athlétique.

Ce qui est un désastre pour eux aujourd'hui ne doit pas ternir tout ce que les joueurs ont fait de bien cette année.

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