Arnaud Assoumani, un athlète paralympique français, exprime sa satisfaction face à l'engouement croissant pour les Jeux paralympiques.

Malheureusement, il n'a pas remporté sa sixième médaille paralympique, terminant à la cinquième place dans la catégorie T47, lors de la compétition de saut en longueur au Stade de France, le mardi 3 septembre.

Le Cubain Robiel Yankiel Sol Cervantes a remporté l'épreuve avec un saut de 7,41 mètres, tandis qu'Assoumani n'a réussi qu'un saut de 6,77 mètres.

Assoumani attribue cette contre-performance à un blocage psychologique résultant d'une blessure survenue il y a trois ans.

Malgré cette déception, il souligne les aspects positifs de son parcours jusqu'à Paris et se réjouit de l'intérêt croissant pour les Jeux paralympiques.

Il est fier de l'évolution de la considération pour les para-athlètes et espère que cet engouement continuera à croître.

Depuis plus de 20 ans, Assoumani se bat pour mettre en lumière le handisport à travers ses performances et ses prises de parole.

Il prévoit de continuer à se battre, tant sur les pistes qu'en dehors, pour briller sportivement et promouvoir le parasport.

Il sera présent aux Championnats du Monde l'année prochaine et n'exclut pas de participer aux Jeux de Los Angeles dans quatre ans.

Son objectif est de dépasser les 7 mètres lors de ses septièmes Jeux paralympiques.

Marie-Amélie Le Fur, présidente du comité paralympique Paris 2024, se réjouit également du succès des Jeux paralympiques, qui sensibilisent les officiels au handicap et réconfortent les athlètes.

Elle espère que cet héritage se poursuivra et apportera beaucoup à la société.

La para-escalade fera son entrée aux Jeux de 2028, grâce à une innovation française permettant aux personnes en fauteuil de grimper comme tout le monde.

J'espère que cette paraphrase vous convient ! ?