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République Française - Contenu Web à propos de Al Pacino
Bien sûr, je peux paraphraser ce texte pour vous.
Voici une version plus détaillée :Thomas Jolly, directeur artistique de Paris 2024, affirme que pour une démocratisation culturelle à grande échelle, il est nécessaire de tout revoir.
Victor Le Masne, directeur musical de Paris 2024, déclare qu'il ne composera plus jamais de la même façon.
Près de 70 000 personnes sont attendues pour la parade des champions olympiques sur les Champs-Élysées et la place de l'Étoile.
En Chine, il est dit que personne n'échappe à la justice, où qu'il soit, et qu'aucun secteur n'est à l'abri, surtout pas les banquiers.
La montée des protectionnismes et les tensions géopolitiques conduisent à une forte incertitude sur l'évolution du commerce mondial.
L'avenir dira si la dissolution a offert à la droite sa revanche ou si elle s'est au contraire laissée enfermer dans un piège.
Le documentaire 'Enquête au Vatican : le pape et le diable', diffusé sur Histoire TV, explore le duel vertigineux et ambigu entre Pie XII et Hitler.
Karine Ruffel, autrice, raconte que lorsqu'elle a décidé de se passer de viande, de fromage et autres, elle s'est d'abord un peu perdue.
Jean-Baptiste Péretié retrace le parcours du comédien américain emblématique des années 1970, Al Pacino, le plus exemplaire produit de la scène new-yorkaise.
Peu après avoir terminé son deuxième long-métrage en 1971, Jerry Schatzberg se balade sur Broadway Avenue à New York, près de l'endroit où il vient de réaliser son film, pas loin de 'Needle Park', le nom donné par les toxicomanes au quartier de l'Upper West Side où ils se fournissent alors en drogue.
Le réalisateur entend un type hurler et trouve cela étrange, car l'un des junkies, tenant le rôle principal de son film, Al Pacino, est un acteur inconnu au cinéma, davantage repéré sur les scènes de théâtre à New York et en banlieue.
Schatzberg poursuit néanmoins son chemin, mais il entend de nouveau la même voix, encore plus stridente.
Il se retourne alors et aperçoit Al Pacino, assis sur un banc de Needle Park, en compagnie de plusieurs junkies.
Ce rôle, qui lui colle à la peau, l'acteur américain ne souhaite ni ne peut l'abandonner.
Cet épisode est relaté dans le documentaire de Jean-Baptiste Péretié, diffusé sur Arte après le film 'Carlito's Way' réalisé par Brian De Palma en 1993, avec Al Pacino, Sean Penn, Penelope Ann Miller et Viggo Mortensen, consacré au comédien américain emblématique des années 1970 qui domine la décennie la plus marquante de l'histoire américaine.
Le documentaire situe à merveille la spécificité de l'acteur Pacino, la nécessité de se fondre dans un rôle, héritage de l'Actor's Studio, mais aussi ce besoin plus inhabituel de ne jamais parvenir à oublier un personnage, un héritage de sa culture théâtrale, où un rôle reste un travail en friche, sur lequel on revient régulièrement.
En 1996, Pacino réalise un film-essai où il examine son lien à Shakespeare à travers Richard III, expliquant à merveille ce paradoxe.
Né dans le Bronx, Pacino est un pur produit new-yorkais, comme le montre très bien ce film, exprimant son talent au moment où la ville de New York, entre 'The French Connection' de William Friedkin en 1971 et 'Taxi Driver' de Martin Scorsese en 1976, devient le centre de gravité du cinéma américain.
Les grands films avec Al Pacino dans les années 1970 sont tournés à New York, révélant aussi, à leur manière, des films sur la métropole américaine dont Pacino est le plus exemplaire produit : 'Le Parrain' de Francis Ford Coppola en 1972, 'Serpico' et 'Un après-midi de chien' de Sidney Lumet en 1973 et 1975, et 'Cruising' de William Friedkin en 1980.
L'irruption de Pacino dans le cinéma américain correspond à un autre moment de bascule où des comédiens comme Dustin Hoffman et Robert De Niro, au physique plus typé, très différents des canons auparavant en vogue, accèdent au rang de star.
Le jeu de Pacino, parfaitement expliqué dans ce documentaire d'une impeccable pédagogie, repose sur un mélange de compression et d'explosion, un personnage apparemment terne dévoilant un charisme encore plus inattendu, décelable dans l'évolution du personnage de Michael Corleone dans 'Le Parrain', puis dans son interprétation du gangster cubain dans 'Scarface' de Brian De Palma en 1983, et celle du flic cocaïnomane dans 'Heat' de Michael Mann en 1995.
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