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Les quelque 5500 membres du Syndicat des employé-es de magasins et de bureaux (SEMB-SAQ-CSN) sont sans convention collective depuis le 31 mars 2023.
« Faites des réserves ! » Alors que les employés des succursales de la SAQ du Québec ont déclenché une grève d’une journée jeudi, la présidente de leur syndicat, Lisa Courtemanche, qui assure que ses membres seront de retour sur le plancher vendredi, recommande tout de même aux clients de se préparer à toute éventualité si jamais les parties à la table de négociation ne parvenaient pas à s’entendre.
« Toutes les stratégies sont possibles à partir de maintenant pour en arriver à un règlement respectueux.
Ça fait un bon moment qu’on dit à nos clients de faire des réserves.
On est rendus là, aux réserves », a déclaré M.
Courtemanche au cours d’un point de presse tenu jeudi devant la succursale du marché Jean-Talon, à Montréal.
Les 5000 membres du Syndicat des employé-es de magasins et de bureaux (SEMB-SAQ-CSN) sont sans convention collective depuis mars 2023.
Une cinquantaine de travailleurs s’étaient rassemblés avec leurs pancartes et leurs drapeaux vert et blanc, à l’intérieur du magasin, tandis que des cadres s’affairaient à placer des bouteilles et à servir les clients qui traversaient la ligne de piquetage.
Lors de notre passage toutefois, aucun client n’a franchi le pas de la porte du magasin.
Près d’une soixantaine de succursales ont ouvert en dépit de la grève.
François Enault, premier vice-président de la CSN, et Lisa Courtemanche, présidente du Syndicat des employé-es de magasins et de bureaux de la SAQ.
Les amateurs de vin et de spiritueux qui s’inquiètent pour leur apéro du vendredi peuvent être rassurés toutefois : les employés rentreront au travail vendredi et le syndicat poursuivra ses discussions avec la société d’État, a affirmé Lisa Courtemanche.
On retourne à la table de négociation [vendredi].
On s’attend à autre chose qu’à de l’intransigeance de l’autre côté de la table.
« On a des demandes financières, qui ne sont pas d’ordre salarial, à discuter à la table de négociation, dont le plancher d’emploi, a-t-elle précisé.
On cherche à sortir nos gens de la précarité.
Je rappelle que près de 70 % de nos collègues sont à temps partiel.
Près de 12 ans pour obtenir un poste régulier, avec un horaire régulier, une paye complète, c’est un peu trop.
» Selon le syndicat, l’offre salariale déposée sur la table par la SAQ est de l’ordre de 16,5 % sur six ans, ce qui serait en deçà des augmentations obtenues par le secteur public à la fin de l’année 2023.
On demande également une bonification du programme d’assurance collective.
Pancarte à la main, Éric Lesage, employé dans une succursale de la SAQ depuis 23 ans, a affirmé sans détour que les conditions de travail s’étaient détériorées au fil du temps.
« Il y a eu beaucoup de recul.
Quand je suis entré à la SAQ, on avait une belle Ferrari de l’année.
Plus ça va, plus la SAQ essaie d’économiser, mais de la faire rouler encore, image-t-il.
C’est assez démoralisant.
» « Les moyens de pression, on s’y résout parce que la SAQ n’est pas sérieuse dans ses négociations, déplore-t-il.
C’est une guerre d’usure.
» Du côté de la société d’État, on se dit prêt à s’asseoir dès vendredi à la table.
Près de deux ans après le début des négociations, Isabelle Dufour, vice-présidente exploitation des réseaux de vente de la SAQ, a pour sa part reconnu « qu’il était temps que ça se règle ».
On a fait une offre [salariale] de 16,5 % d’augmentation sur une période de six ans.
Le syndicat demande 18 % d’augmentation sur trois ans.
Donc clairement, on n’est pas à la même enseigne.
« On les attend quand même [vendredi] en négociation, parce que c’est là que ça se passe.
Ça se passe à table.
Les demandes du syndicat sont très nombreuses, a-t-elle ajouté.
On souhaite qu’il fasse un certain ménage dans [ses] demandes pour avancer dans les négociations.
» Si les deux parties n’arrivent pas à s’entendre, le temps des Fêtes – période lucrative pour la SAQ – pourrait-il être perturbé ? « On se prépare à toutes les éventualités.
C’est notre devoir de le faire, a répondu M.
Dufour.
Maintenant je pense que les deux parties ont intérêt à ce que ça se règle avant le temps des Fêtes autant pour nos employés que pour nos clients.
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